
L’avion atterrit. On remet vite nos chaussettes et nos chaussures. Moment très agréable comme vous vous en doutez car elles sont toutes deux trempées.
Premier instant qui nous indique que l’on est en Russie :
- L’écriture cyrillique : quand Saint-Pétersbourg devient Санкт-Петербург
- La douane : des douaniers pas souriants qui ne parlent pas un mot d’anglais et s’agacent qu’on ne remplisse pas bien une fiche très détaillée d’immigration
Une fois dans le hall de l’aéroport, il est 1h30 du matin. Rien ne sert de prendre le bus qui relie Saint-Pétersbourg si c’est pour errer seuls dans la ville alors qu’il n’y a pas de métro. Dans le Terminal, on remarque une longue banquette : parfait!
On somnolera donc jusqu’à 4h30 aux sons des annonces de l’aéroport nous signalant qu’il est interdit de fumer dans la gare et transporter des objets dangereux tels une bombe : sans blague !
Une fois le soleil levé (premier lever de soleil en Russie!!! Ouaou !) nous nous aventurons dehors pour prendre le bus 13 qui nous emmène à la station de métro la plus proche.
Le chauffeur bien que rude au premier abord (car ne parlant pas anglais et étant peu souriant) nous fera la gentillesse de nous offrir le trajet après avoir refusé de nous faire la monnaie sur le trop gros billet qu’on avait, comparativement au montant du trajet.
Avec le métro on s’arrête ensuite dans le centre-ville dans l’artère principale de la ville. On sort et on se retrouve dans le soleil levant de Saint-Pétersbourg au réveil. Les majestueux bâtiments longtemps rêvés sont bien là, montrant leurs hautes, fières, larges et colorées façades. Je suis vraiment émerveillé. S’en suit la descente de cette rue en direction du fleuve, la Neva, avant d’atteindre… l’Ermitage !
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